Des espaces à vivre

© Plans et croquis d’esquisse réalisés par Atelier Paysage / Dessin et construction
Toutes reproductions mêmes partielles doivent être accompagnées de la mention de l’auteur.

Tous les éléments de programmation sont mis en oeuvre pour favoriser la sécurité et la convivialité. Les espaces libres et accessibles des places se combinent à la halle et ses commodités pour permettre des festivités, marchés et multiples occupations associatives et culturelles.

Les espaces libres permettront également le déploiement de terrasses de cafés et restaurants.

La halle sur son estrade joue à la fois le rôle du kiosque ou celle de gradin vers la place.

La place du marché est plus minérale, plus animée avec une fontaine (dite sèche) au croisement de tous les parcours .

Le pavage y dessine un plateau de jeux. Les gradins, escaliers parcours piétons sont ludiques et attractifs.

Le parvis de la collégiale est une zone verte, plus calme.

Les arbres et massifs de plantations, bancs , gradins offrent de multiples possibilité de s’asseoir, seul ou à plusieurs, à l’ombre ou au soleil.

Le mobilier urbain propose des formes simples et discrètes participant à la composition spatiale. Le bois (label FSC) confortable pour les assises, et dossiers, le métal pour les potelets, râteliers vélos poubelles.

Les croix, monuments, statues sont repositionnées et complétés de deux lignes signalétiques qui peuvent présenter des textes ou des gravures anciennes pour raconter l’histoire de la ville.

Rendre de la clarté

© Plans et croquis d’esquisse réalisés par Atelier Paysage / Dessin et construction
Toutes reproductions mêmes partielles doivent être accompagnées de la mention de l’auteur.

Le projet permet également de retrouver la silhouette du clocher depuis la rue du marché.

La position des arbres, des flux et des bancs permet de profiter au mieux des lectures spatiales et des vues vers les éléments comme le moulin, la collégiale, la cour du chapitre.

La continuité se développe aussi par le tapis de sol qui se déploie de haut en bas et l’homogénéité des équipements et des composantes végétales déployées précisées en pages suivantes.

Le projet permet également de retrouver la silhouette du clocher depuis la rue du marché.

La position des arbres, des flux et des bancs permet de profiter au mieux des lectures spatiales et des vues vers les éléments comme le moulin, la collégiale, la cour du chapitre.

La continuité se développe aussi par le tapis de sol qui se déploie de haut en bas et l’homogénéité des équipements et des composantes végétales déployées précisées en pages suivantes.

Champs d’action

© Plans et croquis d’esquisse réalisés par Atelier Paysage / Dessin et construction
Toutes reproductions mêmes partielles doivent être accompagnées de la mention de l’auteur.

La place du marché se définit par le bâti qui l’encadre sur les 4 côtés. De ce rectangle, des rues et ruelles s’échappent pour gagner d’autres dilatations spatiales.

Nous définissons la place du chapitre, zone la plus haute, au fond de la collégiale, comme une grande cour carrée avec sa fontaine au centre.

Nous considérons la partie intermédiaire qui s’étire le long de la collégiale comme une zone à part entière. Ornée autrefois de végétation, elle constitue une place à elle seule, le parvis de la collégiale.

Les rues et ruelles :

Le périmètre d’intervention s’étire dans les rues et ruelles adjacentes qui participent aux parcours urbains et rejoignent les zones de stationnement disponibles à proximité. Les pincements, les passages, les portes font partie de la composition urbaine.

La halle :

Les récits historiques attestent de la présence d’une halle médiévale dans une période prospère qui a vu le développent de la ville. La halle se trouvait à l’emplacement de l’ancien hôtel de ville. Alors qu’on parle de redynamisation, celle halle devient un lieu symbolique d’une reconversion, ancrée dans l’histoire.

Elle se positionne comme un trait d’union entre les deux parties historiques de la ville, comme une porte alors que le bâtiment actuel est un obstacle physique et visuel.

Nous proposons une halle qui manifeste toutefois une certaine présence, la porte n’est pas un vide, c’est une arche, un porche.