Vidéos

Teasing :

Et si… On construisait la suite de notre histoire ?
Suivez tous les épisodes de la séries sur notre playlist YouTube.


Faux Micro Trottoir :

Episode 1 : le parking souterrain

Episode 2 : Les poussettes

Episode 3 : Grand Hôtel

Episode 4 : Boîte de nuit


Animations

1 – Deux villes

2 – Halle

3 – Kiosques

4 – C.R.U.

5 – Teasing “Au culot do feu”


Conférence de presse du 15/02/22


L’avenir, c’est maintenant

© Plans et croquis d’esquisse réalisés par Atelier Paysage / Dessin et construction
Toutes reproductions mêmes partielles doivent être accompagnées de la mention de l’auteur.

Plus encore qu’une rénovation, une résurrection…

La proposition répond en les corrigeant à tous les griefs qu’avait suscités la « rénovation » qui avait été mise en place en 1895. Il permet à la place du Marché de retrouver l’espace et l’aération qui lui avaient été alors enlevés. Il rétablit le lien sous la forme d’un judicieux lieu de passage entre les deux places et remet celle « des bourgeois » sous l’ombre protectrice et tutélaire du clocher de la collégiale. La vieille halle sous sa forme nouvelle qui évoque, sans pour autant la copier servilement, celle qui avait été démolie à la fin du 19ème siècle renait et retrouve son véritable rôle, celui d’un lieu de rencontre et de convivialité.

Du projet à la réalité (en passant par le rêve)

Une démolition est souvent associée à une révolution. Elle emporte souvent une consonance négative si ce n’est que dans le cas de notre projet de rénovation, c’est à un retour aux sources que nous assistons soit, finalement, au sens premier du mot révolution. C’est en référence à ce sens premier que l’on a écrit que la Renaissance était une révolution. Ce beau projet va maintenant prendre forme et il conviendra d’être attentif à ce qu’il soit respecté notamment là où les ébauches et les croquis de ses concepteurs donnent à rêver : les coins de verdure, les revêtements, la restitution des espaces à l’humain, bref des lieux où il fait bon flâner. Ce sera certainement le signe d’un vrai départ de cette rénovation et de cette revalorisation du centre de Fosses auxquelles avec patience ses habitants aspirent. Un départ qui mettra en route un véritable mouvement centrifuge.

© Plans et croquis d’esquisse réalisés par Atelier Paysage / Dessin et construction
Toutes reproductions mêmes partielles doivent être accompagnées de la mention de l’auteur.

Dans la presse

RTBF du 16/02/22 :

Fosses-la-Ville va détruire son ancien hôtel de ville


Nouvelle Gazette du 16/02/22 :

Voici à quoi ressemblera le centre historique de Fosses-la-Ville d’ici 2026 (vidéo)


L’Avenir du 16/02/22 :

Fosses ose le changement, rase l’hôtel de ville, et avance


L’Avenir du 15/02/22 :

Fosses-la-Ville: une halle à la place de l’hôtel de ville


Boukè Media du 15/02/22 :

Fosses-la-Ville: l’ancien hôtel de Ville va être détruit pour revitaliser le centre


L’Avenir du 28/02/22 :

Patrimoine de Fosses-la-Ville : haro sur l’ASBL Historia

Texte intégral de la lettre ouverte :

LETTRE OUVERTE A COMMUNAUTE HISTORIA
Nous, habitants de Fosses, impliqués dans la vie de notre commune, amoureux et passionnés par notre histoire, nos traditions, notre folklore et notre patrimoine, dénions par la présente le droit à « Communauté Historia » toute ingérence pouvant mettre à mal nos choix citoyens pour l’avenir de notre ville.
Vous, « Communauté Historia », au nom d’une croisade pour la sauvegarde du patrimoine, prétendez vous immiscer dans notre débat. Vous ne savez rien de Fosses ; vous ne partagez pas notre quotidien ; jamais vous n’avez participé nos réunions, à notre longue réflexion concernant la rénovation de notre centre. En un mot : vous n’êtes pas légitime.
Vous, « Communauté Historia », polluez le débat. En déformant les faits, en falsifiant les chiffres, en lançant des rumeurs, en sortant de tout contexte la moindre information… Jouissant de l’écho onirique de votre populisme, vous ne vous battez pas pour notre patrimoine ; vous bataillez pour nous imposer vos idées.
Vous, « Communauté Historia », n’avez jamais jugé digne de vous intéresser à la sauvegarde du Château Winson, de la Ferme des Béguines, à la restauration de la Chapelle Ste Brigide, au devenir de la Maison du Doyen… En vous saisissant de l’actualité, de notre actualité, vous semblez considérer avec mépris ces monuments qui n’aurons pas « l’honneur » de votre intérêt.
C’est à nous, citoyens de Fosses, et à nous seuls, qu’il incombe de définir notre futur cadre de vie. Nous, Fossois, voulons être maître de notre destin.
Nous signons donc pour un débat serein, entre citoyens réellement concernés, sans aucune intervention extérieure.

Une réflexion sur l’avenir

Depuis bientôt dix ans une réflexion a été mise en place à Fosses sur le devenir de l’entité et aussi sur les perspectives et les moyens de lui assurer une évolution soucieuse à la fois du bien-être de ses habitants et d’un développement harmonieux de son environnement. Plusieurs constats étaient à la base de ce mouvement parmi lesquels une mutation inquiétante de la structure sociale du centre de Fosses (habitat, commerce, loisirs…) d’une part et un sentiment de ne pas voir suffisamment  mises en valeur les richesses de son passé d’autre part. Il y avait par ailleurs, issue sans aucun doute de ces constats, l’émergence d’une préoccupation citoyenne de participer à ces réflexions et au-delà à la revalorisation de la cité..

Participation citoyenne

Contrairement à ce qui avait constitué le contexte politique  à l’époque où se prenaient des décisions telles que la construction en 1895 d’un nouvel Hôtel de Ville, nos responsables politiques étaient devenus plus attentifs aux aspirations de la population. Cette dernière par le biais de deux commissions allait dorénavant être associée par les avis qu’on solliciterait auprès d’elles en vue de la réalisation de projets dont ceux qui concerneraient l’environnement urbain et rural. La Commission locale de développement rural (CLDR) d’une part et la Commission de rénovation urbaine (CRU) virent ainsi le jour.

Une trahison ?

Quand en 1895 fut inauguré le nouvel Hôtel de ville, il semble bien que, mises à part les festivités qui auront sans doute accompagné l’événement, son édification ne suscita guère d’émotions populaires. Les réseaux sociaux n’existaient pas et le concept de démocratie était encore on ne peut plus balbutiant. Il n’y eut personne pour s’élever contre ce qui était pourtant bien une dénaturation et une transformation du centre de Fosses. Cette construction en effet venait prendre la place d’un des derniers vestiges du passé médiéval de la ville, sa halle dont la construction plongeait ses origines dans l’histoire fossoise.

Chef d’œuvre en péril ?

L’hôtel de ville constitue-il une pièce maîtresse du patrimoine architectural de notre bonne ville ? Dans un ouvrage publié en 2004 à l’initiative de la Région wallonne, un collectif d’architectes et d’archéologues ont procédé à un inventaire du patrimoine immobilier des communes wallonnes. Fosses y occupait une place non négligeable et contrairement à nombre d’autres monuments de la ville, l’Hôtel de ville y était évoqué et évacué en quelques lignes : « Ce bâtiment néo-traditionnel de la fin du 19ème siècle impressionne par sa haute tour d’angle, ses façade-pignons, le portail d’entrée et son important perron. ». Bref un bâtiment plutôt imposant et davantage impressionnant par ses dimensions que par son esthétique.

La construction de l’Hôtel de ville

Quand les autorités communales décident de construire en cette dernière décennie du 19ème siècle un nouvel Hôtel de ville, on ne peut douter que l’ancienne Halle avait fait son temps et que les impératifs d’une bonne et confortable gestion communale avaient rendu cette dernière tout à fait obsolète. Ce sont les mêmes considérations qui un peu plus de cent ans plus tard justifieront la création de l’Espace Winson. Le choix du style de la nouvelle construction ne s’embarrassa guère de savoir ce qu’en pensait les habitants. C’étaient les Notables de l’époque qui tout naturellement adoptèrent l’architecture administrative à la mode. Cela donna ce « style néo-traditionnel » reflet des conceptions de ces temps de triomphe d’une bourgeoisie industrielle soucieuse de paraître et d’en imposer.

Un nouvel urbanisme

Cette construction qui donnera à la Place du Marché son aspect tel que nous le connaissons en réalité allait bouleverser le paysage urbanistique de Fosses. Elle érigeait entre les deux villes, celle des Chanoines et celle des Bourgeois, une barrière qui occulterait définitivement toute vue depuis le Marché vers le clocher de la collégiale. Était-ce une volonté délibérée dictée par l’anticléricalisme en vogue à l’époque ?  Peut-être mais la réalité faisait que la Place du Marché se retrouverait dorénavant étriquée et dominée par la construction monumentale nouvelle. Cette sensation serait accentuée une quarantaine d’année plus tard après l’édification du kiosque qui, selon les mots des rédacteurs de la somme recenseuse de la Région Wallonne, « monopolise une bonne partie de la Place ».

Que faire de l’ancien ?

Quand les services de l’administration communale se furent transportés sur le site de l’Espace Winson le temps fut à l’état des lieux. Les constatations n’étaient guère rassurantes avec en premier un étage dont l’accès avait déjà fait l’objet d’une condamnation de par les risques qu’il faisait encourir à ceux qui s’y aventureraient. Le bas pouvait encore servir et servit notamment pour des réunions ou l’une ou l’autre activité socio-culturelle mais c’était dans l’attente que soient achevés les travaux de construction de la Maison de la ruralité qui vient d’être inaugurée.

Les auteurs du projet

© Plans et croquis d’esquisse réalisés par Atelier Paysage / Dessin et construction
Toutes reproductions mêmes partielles doivent être accompagnées de la mention de l’auteur.

ATELIER PAYSAGE est une agence de paysagistes qui développe des projets à de multiples échelles : jardins, places, parcs, quartiers et territoires.

Autour des thèmes de nature, d’architecture, de mobilité ou de convivialité, nous construisons des projets en croisant les regards avec nos partenaires de conception, les maîtrises d’ouvrage et les utilisateurs.

Notre démarche de projet est basée sur 3 axes : la prise en compte du paysage comme socle vivant et dynamique, son rôle environnemental ; les valeurs d’usages qu’il accueille, son rôle social ; et l’identité par laquelle il prend sens dans le récit d’une histoire collective, son rôle culturel.

Nous sommes animés par la nécessité de valoriser le cadre naturel qui nous entoure et par la volonté d’améliorer le vivre ensemble. Notre dessin cherche à résoudre le bon fonctionnement spatial et à révéler l’essence singulière des lieux, leur poésie.

Comme artisans du cadre de vie, avec des formes et des matières vivantes, de l’idée à l’action, d’une vision contextuelle à la rigueur du détail, nous sommes des créatifs pragmatiques, ancrés dans la réalité des processus de projets.

www.atelierpaysage.be

DESSIN ET CONSTRUCTION est une société interprofessionnelle d’architecture, ingénierie et urbanisme.

Le bureau exerce ses compétences dans les trois domaines, en privilégiant les études et projets abordant plusieurs de ces dimensions.

Nous nous intéressons particulièrement à la diversité des problématiques posées par le programme et/ou par le contexte territorial.

Les notions de Trace comme histoire du territoire, de Ville comme lieu de vie en société et de Paysage comme cadre de vie collectif sont moteur de nos interventions.

Nous attachons beaucoup d’importance à notre responsabilité vis-à-vis de l’environnement naturel et humain dans le choix des matériaux, dans les techniques de constructions et dans l’économie du projet cherchant le juste équilibre entre tradition et modernité.

Enfin, nous accordons une attention particulière à la participation de tous les acteurs dans l’élaboration des projets : maître d’ouvrage et entrepreneurs comme acteurs directs mais aussi la société civile à travers différents processus participatifs.

www.dessin-et-constrution.eu

Patrimoine culturel immatériel

Le Patrimoine Culturel Immatériel évolue dans le temps

« De Traditions en Créations », écrivait Françoise Lempereur. Eh oui ! Les traditions se recréent, évoluant avec les contraintes du temps.

Les archives nous montrent que, en 1745, le carnaval fossois se déroule avant le Carême. En 1864, « le Conseil alloue aux Jeunes gens une somme de cent francs pour la célébration de la fête de la mi-carême », montrant ainsi un changement de date, probablement récent, du carnaval.

En 1891, la kermesse a lieu en octobre, comme par le passé. En 1892, le Conseil communal fixe « la date de la kermesse au dernier dimanche de septembre », pour tenir compte de ce qui se passe dans les communes voisines, et des nouvelles dates des congés scolaires et judiciaires.

La résilience du Patrimoine Culturel Immatériel

En 1802, l’évêque, le curé et le préfet interdisent aux fossois de processionner avec le buste de Saint-Feuillen. Qu’à cela ne tienne : 3.000 marcheurs en armes escortent alors la nouvelle châsse.

En 1942, l’occupant interdit de marcher en armes. Qu’à cela ne tienne : les fossois effectuent le Tour Traditionnel en rangs, en civil, sans armes. Ils remplacent les tirs de mousquet par le claquement sec de papiers gonflés d’air qu’ils font éclater. C’est « l’Sint Fouyin aus satchots ».

Les anciens bataillons carrés aux « Coutures Mathot » et « Campagne de l’Allou » n’auront plus jamais lieu. Tout évolue. L’important est de garder l’esprit et le sens premier du Patrimoine Culturel Immatériel !

Patrimoine

Dans le périmètre du projet, les éléments principaux du patrimoine, qui font partie de l’histoire, et qui ont pu traverser les époques, se trouvent sur la Place du Chapitre.

La maison dite « du Doyen » – appelée familièrement « château Arnould », était la résidence des doyens du chapitre. Elle fut érigée en 1622 et s’adosse au rempart de la ville du 12e siècle et à la tour Blanmont. La bâtisse est traditionnelle, élevée en briques et pierres bleues. Le porche a été reconstruit au 18e siècle.                           

Cette demeure privée est classée au patrimoine.

Au centre de la place, la pompe de la 1ère moitié du 18e siècle, est emblématique.

Amorce de muraille et vestige d’une tour semi-circulaire, la Tour Saint-Martin “, sur haut soubassement taluté probablement du 12e siècle, est un bâtiment jadis occupé par les religieuses de Saint-Martin de Tours.

D’autres éléments, principalement du 17è siècle, parfois chaulés, caractérisent également le centre de Fosses et son inscrits à l’inventaire du patrimoine.

Et bien sûr,…

La Collégiale St-Feuillen , bien classé au patrimoine, dont les origines remontent à la fondation d’un monastère irlandais, et dont les bases de l’édifice actuel furent construites vers 910.  La Collégiale comporte 4 parties principales : la tour et la crypte romanes (fin du XIe s.) ; le vaisseau et le chœur (refaits en 1721).

Sur la Place du Marché, le plus ancien monument inscrit sur la liste de l’inventaire est « le vieux Moulin ». C’est un ancien moulin banal alimenté autrefois par la Biesme.

D’autres, plus récents, font également partie de l’inventaire. Le kiosque, ayant dû être en partie démonté par mesure de sécurité, n’est plus classé mais est toujours sur la liste. Œuvre de l’artiste fossois Marcel Nulens, offerte par le Syndicat d’Initiative de Fosses en 1986, la statue en bronze figurant 3 Chinels, trône fièrement sur la Place, dans l’attente de la prochaine Laetare…

Qu’est-ce que l’Inventaire ?

L’Inventaire est l’outil de recensement du patrimoine immobilier culturel de Wallonie.

Initié en Belgique en 1966, sous l’égide du Ministère de la culture et sur l’impulsion du Conseil de l’Europe, l’Inventaire a depuis évolué, en parallèle avec l’élargissement de la notion de patrimoine.

L’actuel Inventaire du patrimoine immobilier culturel met à jour et complète le premier Inventaire du patrimoine, publié entre 1973 et 1997 sous le titre “Le Patrimoine monumental de la Belgique – Wallonie” (dit aussi “Inventaire du patrimoine monumental” – IPM), qui recense plus de 30.000 biens.

Une actualisation de cet Inventaire initial est mise sur pied en 1998, publiée de 2004 à 2011 dans la collection “Inventaire du patrimoine architectural et territoires de Wallonie” (dit aussi “Inventaire du Patrimoine Architectural” – IPA). En actualisation permanente, l’Inventaire est désormais uniquement publié via le web, sur ce site Internet. Celui-ci constitue le principal support de recherches pour les acteurs de l’urbanisme (à l’échelle communale et régionale), les architectes et les particuliers.

L’Inventaire du patrimoine immobilier culturel (IPIC) constitue l’une des branches de l’Inventaire régional, tel que définit par l’art. 11 du Code du Patrimoine (CoPat).

L’Inventaire du patrimoine immobilier culturel assimile les anciens inventaires du patrimoine : l’inventaire du patrimoine monumental (1973 à 1997) et l’inventaire du patrimoine architectural et territoires de Wallonie (1998 à 2011).

L’Inventaire du patrimoine immobilier culturel a pour objectifs la connaissance, la protection et la gestion des biens inscrits, ainsi que la sensibilisation du public.

L’inscription d’un bien à l’Inventaire du patrimoine immobilier culturel lui reconnaît, lors de cette inscription, une qualité patrimoniale. L’attribution d’une pastille (•) à un bien inscrit lui reconnaît, lors de cette attribution, une qualité patrimoniale dont la pérennisation est souhaitée.

Consultations et Commission

Consultations ?

Pour l’élaboration du dossier, en 2014, « plusieurs moyens ont été mis en œuvre pour assurer la récolte des données subjectives lors de cette phase de diagnostic. D’une part, une enquête par questionnaire auprès des habitants du quartier a livré une perception globale du quartier et, d’autre part, une série de rencontres, entretiens avec des personnes-ressources ou réunions de consultation de la population, a permis d’affiner l’analyse ». « L’outil de consultation qui a permis de recueillir l’avis du plus grand nombre de personnes est l’enquête écrite, qui a obtenu les réponses de 57 personnes. A travers cette méthode, le but était de contacter et donc de récolter l’avis d’un maximum d’habitants ».

Et notre avis là-dedans ?

Faisant suite aux consultations de 2014, et aux visites de terrain, une commission a été créée (la C.R.U.). Celle-ci est composée essentiellement de citoyens du centre. Ils donnent un avis au Collège Communal à chaque étape importante de l’opération.

Cette commission peut également rendre des avis au Conseil communal et/ou au Collège communal sur toutes les questions qu’ils lui soumettent. Ce fut le cas, par exemple, pour le projet privé de la société HOUYOUX, à l’Avenue Albert 1er.

C.R.U ?

= Commission de rénovation urbaine. Composée de :

  • 3 membres du Collège communal ;
  • 2 membres du Conseil communal, issus de la minorité
  • 1 représentant :
    • CPAS ;
    • Foyer Namurois ;
    • AIS ;
    • Centre culturel ;
    • Chinels ;
    • CQFC ;
    • Écoles ;
    • Zone de Police ;
    • Syndicat d’Initiative ;
    • Pour l’intégration d ‘une œuvre d’art ;
  • 6 (min.) habitants domiciliés résidant dans le périmètre du centre ou ayant un commerce dans celui-ci. La commission fossoise en compte 11 !
  • Voix consultative : 3 invités volontaires, n’habitant pas dans le périmètre.
  • 4 « administratifs » (Ville, Région, auteur de projet)

La CRU constitue essentiellement un organe de consultation, de coordination, d’animation, de relais avec la population du quartier